Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Choux de Siam
18 décembre 2020

Un petit effort

  • Le Canada avait prévu d’accueillir 20 000 réfugiés parrainés par le secteur privé cette année, mais à la fin de septembre, seuls 3500 étaient arrivés. Le temps qu’il faudra pour le reste reste incertain.
    (Stephanie Levitz, PC, dans La Presse du 12 décembre 2020.)

Un petit effort :

Le Canada avait prévu d’accueillir 20 000 réfugiés parrainés par le secteur privé cette année, mais à la fin de septembre, seuls 3500 étaient arrivés. Le temps qu’il faudra pour le reste demeure incertain.

  • Le désir de voir Ali Mansour devenir autonome a été remplacé par la peur de le voir tomber malade. Et Mme Hassan a dû à le conduire partout.

Le désir de voir Ali Mansour devenir autonome a été remplacé par la peur de le voir tomber malade. Et Mme Hassan a dû le conduire partout.

  • L’ancien réfugié Yazan Alhajali craint d’ailleurs pour la santé mentale de ces nouveaux réfugiés en raison de l’isolement et de la situation financière difficile auxquels ils ont été confrontés. Il s’inquiète aussi des effets que le contexte actuel pourrait avoir sur ces réfugiés dans leur intégration à long terme.

Je conseillerais une formulation plus directe :

L’ancien réfugié Yazan Alhajali craint d’ailleurs pour la santé mentale de ces nouveaux réfugiés, en raison de l’isolement et de la situation financière difficile auxquels ils sont confrontés. Il s’inquiète aussi des effets que le contexte actuel pourrait avoir sur ces réfugiés dans leur intégration à long terme.

  • Les réfugiés, déjà aux prises avec des traumatismes, ne peuvent pas accéder aux services de santé mentale ou même aux services de base, ajoute-t-il.

En général, nous dit le Hanse-Blampain, la conjonction ou devient ni dans une proposition négative. Il faudrait lire :

Les réfugiés, déjà aux prises avec des traumatismes, ne peuvent pas accéder aux services de santé mentale ni même aux services de base, ajoute-t-il.

Line Gingras
Québec

La pandémie présente un défi de plus pour les réfugiés | La Presse

Commentaires
Archives