9 septembre 2020
Il salut son élection
- [...] on s’unit pour être plus prospères, mais en revanche, « ne vient pas m’écœurer chez nous ».
(Hélène Buzzetti, dans Le Devoir du 29 août 2020.)
Il va de soi que la revanche ne viendra « écœurer » personne; nous n'avons pas affaire ici à la troisième personne du singulier du présent de l'indicatif, mais à la deuxième personne du singulier de l'impératif présent :
[...] on s’unit pour être plus prospères, mais en revanche, « ne viens* pas m’écœurer chez nous ».
- L’ancien chef de cabinet de M. Scheer, Marc-André Leclerc, salut l’élection de M. O’Toole.
On fait un salut à quelqu'un, mais on le salue; n'oublions pas qu'il s'agit du verbe saluer :
L’ancien chef de cabinet de M. Scheer, Marc-André Leclerc, salue* l’élection de M. O’Toole.
Line Gingras
Québec
* La correction a été apportée.
« Sur la route québécoise d’Erin O’Toole » : https://www.ledevoir.com/politique/canada/585017/politique-federale-sur-la-route-quebecoise-d-erin-o-toole
Commentaires