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Choux de Siam
2 août 2019

Lectures et relectures

  • Rien d’étonnant que les grands aventuriers, qu’ils aient été écrivains, artistes, aviateurs ou chercheurs d’absolu, aient toujours été attirés par les grands espaces vides qui les renvoie à leurs propres démons.
    (Maya Ombasic, dans Le Devoir du 27 juillet 2019.)

Rien d’étonnant que les grands aventuriers, qu’ils aient été écrivains, artistes, aviateurs ou chercheurs d’absolu, aient toujours été attirés par les grands espaces vides qui les renvoient à leurs propres démons.

  • Si l’isolement rime toujours avec l’étrangeté, au fur à mesure qu’on avance dans le récit on assiste à la métamorphose de la narratrice.

Si l’isolement rime toujours avec l’étrangeté, au fur et à mesure qu’on avance dans le récit on assiste à la métamorphose de la narratrice.

  • Pour ceux qui n’ont pas encore choisi leurs lectures d’été, son dernier livre, L’idole (Édition Boréal, 2018), promet lui aussi les silences des temps suspendus dans les mythiques rues de Buenos Aires.

Pour ceux qui n’ont pas encore choisi leurs lectures d’été, son dernier livre, L’idole (Éditions du Boréal, 2018), promet lui aussi les silences des temps suspendus dans les mythiques rues de Buenos Aires.

Line Gingras
Québec

« Faux calmes et grands vides » : https://www.ledevoir.com/opinion/chroniques/559428/faux-calmes-et-grands-vides

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