samedi 8 juillet 2006
Accepter l'acceptable
- Au contraire, la formule actuelle, qui consiste à forcer chaque entreprise qui obtient un contrat d'installation d'éoliennes à négocier avec les intervenants d'une région et les propriétaires des terres, risque d'aboutir à des résultats plus acceptables. En dernier recours, Hydro-Québec peut refuser un projet qui ne serait pas jugé acceptable.
En fait, le problème n'est pas de savoir qui, d'Hydro-Québec ou de l'entreprise privée, est le mieux placé pour faire accepter un projet de parc éolien mais plutôt qui est prêt à accepter la présence permanente de moulins à vent au sommet de ses montagnes et moyennant quel prix. (Jean-Robert Sansfaçon.)
Essayons d'éliminer les répétitions :
... risque d'aboutir à des résultats plus acceptables. En dernier recours, Hydro-Québec peut refuser un projet qui serait jugé inadmissible.
... qui [...] est le mieux placé pour faire adopter un projet de parc éolien, mais plutôt qui est prêt à tolérer la présence permanente...
Line Gingras
«Qui est le plus écolo?» : http://www.ledevoir.com/2006/07/07/113182.html